ACTION II Lutronic, Laser Er:YAG 2940nm Rejuvenation de la peau, resurfaçage et Peel brillant avec pouls normal ou fractionnaire. Disponible Mode « Petit Lady » l’utilisation gynécologique pour Rajeunissement vaginal.
La technologie fractionnaire de la Laser Action II par Lutronic combine la régulation de la profondeur d’ablation par l’utilisateur avec un contrôle de coagulation efficace pour une procédure pratiquement indolore. Lla mode split est disponible dans les deux modes d’utilisation: « Fractional » et « Long Pulse ».
Shining Peel, A Il s’agit plutôt d’une nouvelle conception de peeling laser Pour rides, pores dilatés et pour le rajeunissement de la peau qui ne nécessite aucune anesthésie topique, avec un temps d’arrêt minimal et un risque minimal de pigmentation. Cette nouvelle technique d’épluchage stimule le remodelage naturel du collagène en fournissant des quantités précises d’énergie laser sur la peau, sans ablation immédiate de l’épiderme. Shining Peel diminue la probabilité de pigmentation car la couche externe de la peau est maintenue intacte pendant le traitement, tandis que la couche externe de l’épiderme aura un détachement progressif. Shining Peel revitalise l’apparence de la peau en la rendant plus jeune et plus lumineuse.
Le traitement Petit Lady avec Action II est un traitement non chirurgical et non invasif pour le rajeunissement vaginal.
Ce traitement délicat resserre les tissus vaginaux, remodèle le collagène et rajeunit la vulve pour raviver les sensations et revitaliser les tissus du vagin.
Le traitement Petit Lady est une solution efficace pour le traitement d’un large éventail d’indications gynécologiques causées par des altérations et l’avancement de l’âge d’une manière rentable Sûr.
Applications
Quelques explications :
De la sécheresse vaginale ? La sécheresse vaginale touche de nombreuses femmes. Loin d’être anecdotique, elle perturbe le confort intime, les rapports sexuels ou même la qualité de vie du couple. Depuis 2013, sa prise en charge s’enrichit du laser, validé aux Etats-Unis.
Le laser se présente sous la forme d’un tube de 2 cm, que l’on place au fond du vagin. Il est retiré progressivement, centimètre par centimètre au fur et à mesure que ses ondes font effet sur les parois vaginales. Selon le Dr Michel Mouly, gynécologue-obstétricien oncologue, ce laser réalise une micro-abrasion de la couche superficielle des cellules, qui est déshydratée chez les femmes souffrant de sécheresse vaginale. Les cellules sous-jacentes mieux hydratées les remplacent alors. La muqueuse du vagin est stimulée, elle produit davantage de collagène, d’acide hyaluronique et de fibres élastiques, des éléments participant à la souplesse, à l’élasticité et à l’hydratation de la muqueuse. De plus, le laser entraîne la fabrication de glycogène, qui alimente les lactobacilles présents dans la flore vaginale, ce qui contribue à l’acidification du pH du vagin. Toutes ces actions améliorent par conséquent la lubrification. Attention, différents lasers sont sur le marché et ils ne se valent pas ; « les mécanismes ci-dessus résultent uniquement du laser CO2 avec principe D pulse », met en garde le Dr Mouly.
Quelle efficacité ?
Le laser se réalise, sans anesthésie, et se révèle indolore. De 3 à 4 séances sont effectuées à un mois d’intervalle. « L’effet sur la sécheresse vaginale peut apparaître après la première, la deuxième, voire la troisième séance, . Les patientes doivent être prévenues d’un retard éventuel. Mais l’indice de satisfaction après la troisième séance atteint 84 %, et dans certaines séries plus de 90 %. » Une fois les résultats satisfaisants atteints, ils peuvent perdurer de 9 à 16 mois, selon les femmes. Pour le gynécologue, une séance de rappel doit être faite dès que la patiente sent une diminution de l’effet. Le plus souvent, les patientes reviennent de façon annuelle.
« La première étude a été publiée en 2014 dans le Climateric avec l’indice de satisfaction de 84 % après la troisième séance. De nombreuses études actuellement dans le monde confirment l’effet bénéfique de cette technique sur la sécheresse vaginale. » Une revue (synthèse de la littérature) publiée en 2015 a fait le point sur l’efficacité et la tolérance des lasers pulsés chez les femmes souffrant d’atrophie vulvo-vaginale : plusieurs études ont retrouvé les effets sur la muqueuse, augmentant son épaisseur et la synthèse de collagène. Trois études montrent une efficacité significative après un cycle de trois traitements au laser. La vie sexuelle et la qualité de vie étaient également améliorées.
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